Porto Cesareo: des eaux cristallines, des plages blanches et une histoire riche. Porto Cesareo est l’une des destinations touristiques les plus populaires du Salento, attirant chaque année de nombreux visiteurs grâce à son mélange unique de beauté naturelle, d’hospitalité et de trésors artistiques et architecturaux. Le principal attrait de Porto Cesareo est sa plage de 17 kilomètres encadrée d’un côté par le centre habité et de l’autre par les eaux claires de la mer Ionienne d’où émerge un archipel d’îlots. Le plus grand de ces îlots est connu sous le nom d’Isola dei Conigli (île des lapins ) et peut être atteint par bateau, bien qu’il ne manque pas de téméraires qui nagent directement jusqu’à lui pour jouir d’un peu de tranquillité. Porto Cesareo a fait de l’hospitalité sa mission depuis de nombreuses années, et il ne manque pas d’hôtels, de clubs et de restaurants pour tous les goûts et tous les budgets où l’on peut se détendre et faire une pause dans l’agitation de la ville, mais Porto Cesareo est aussi un lieu qui a été pendant des siècles un important carrefour de peuples et de populations, et ce rôle est encore bien attesté par son grand patrimoine artistique et culturel. Porto Cesareo était déjà connu à l’époque préromaine sous le nom de Portus Sasinae, c’est-à-dire fondé par les habitants de Saseno, une petite île proche de Valona, en Albanie ; sur ses rives débarquèrent également les Mycéniens, puis les Messapiens, les Romains, bien sûr, et enfin au centre de nombreuses querelles au Moyen Âge, lorsqu’il fit partie des possessions de Nardò. Chacun de ces peuples et de ces seigneurs a laissé une trace importante qui ne demande qu’à être redécouverte. Voici 5 étapes à ne pas manquer lors de votre voyage à Porto Cesareo.
La Tour Cesarea abrite aujourd’hui le siège de la Guardia di Finanza, mais son profil imposant surplombant la mer en fait l’un des symboles les plus connus de la ville. La Tour Cesarea est une ancienne tour de guet construite pour défendre la côte contre les attaques des pirates et des Turcs. Dans l’Antiquité, la Tour Cesarea était en communication directe avec les tours jumelles Torre Lapillo et Torre Chianca. La Tour Cesarea est une construction massive, de plan carré, d’une hauteur de 16 mètres et d’une longueur de 22 mètres par côté. Elle a été construite pour la première fois en 1568 par Virgilio Pugliese, sur les instructions de l’ingénieur Giovanni Tommaso Scala. Deux ans plus tard, les travaux étaient terminés, mais cette première tour a été démolie et reconstruite en 1622. Les fondations de la tour reposent directement sur la roche, tandis que les murs, d’une épaisseur pouvant atteindre 4 mètres, sont conçus pour faire de la tour un rempart fondamental dans la défense du port. À l’intérieur, la tour comporte deux étages communicants. De grands blocs de tuf ont été choisis pour la construction de la tour, dont la fonction militaire est encore bien attestée par la présence de mâchicoulis et par le fait que l’étage supérieur est soutenu par des corbeaux.
Juste en face de la Tour Cesarea se trouve un autre des édifices les plus célèbres de Porto Cesareo: l’église de la Madonna del Perpetuo Soccorso. Cette église frappe avant tout par la simplicité de son geste, qui s’intègre parfaitement à l’environnement. La construction de l’église Notre-Dame du Perpétuel Secours remonte à 1880, à côté d’une chapelle dédiée à Saint Césaire datant de 1639-1640, sur ordre de l’évêque de Nardò Michele Mautone, et se trouve aujourd’hui dans une position absolument barycentrique pour la ville: en bord de mer et à quelques pas de la mer Ionienne qu’elle surplombe et dans laquelle elle se reflète. Les lignes architecturales de l’église Notre-Dame du Perpétuel Secours sont, comme on l’a dit, essentielles ; elle est située en face de la Tour Cesarea et a été érigée en 1880. L’édifice se présente comme une église aux couleurs typiquement méditerranéennes et se trouve sur le front de mer, à quelques mètres de la belle mer Ionienne. À l’intérieur, l’église abrite deux statues en papier mâché: celle de Saint Cesarea et celle de la Madonna del Perpetuo Soccorso, la patronne de la ville.
Un lieu enchanté, où la nature est encore le grand protagoniste, mais aussi un coffre aux trésors qui a longtemps gardé les secrets du passé de cette terre. Escale à Furno est un site archéologique très important pour la reconstitution des populations qui ont traversé ces terres au cours des millénaires. Le site a été découvert en 1963 par Domenico Novembre, professeur à l’université de Lecce, et depuis lors, de nombreux objets ont été mis au jour, notamment les vestiges d’un établissement humain de l’âge du bronze, ainsi que des céramiques mycéniennes, des restes d’ossements d’animaux sauvages, deux foyers, des statuettes votives, des bronzes, des poteries locales et bien d’autres choses encore. Aujourd’hui, outre ce voyage authentique dans le temps, il est possible de profiter d’un paysage à couper le souffle. L’expérience de la détente sur la plage de Primo Ponte, qui se termine par l’éperon rocheux de Escale à Furno, célèbre pour son sable doré et ses eaux azur qui contribuent à la magie d’un lieu où il est facile de se laisser aller à penser à la grande histoire de cette terre, n’a pas de prix.
Soeur de la Tour Cesarea et de la Torre Lapillo, la Torre Chianca, datant du XVIe siècle, est l’une des plus grandes de la péninsule du Salento. Haute de 18 mètres et large d’un peu moins de 16 mètres, c’est une construction imposante qui s’élève au-dessus de la mer Ionienne. Au fil des siècles, un port de plaisance s’est formé autour de Torre Chianca, un ensemble de maisons qui est devenu l’une des destinations balnéaires les plus populaires de toute la région du Salento. Vous y trouverez de grandes plages de sable, des eaux cristallines et un maquis méditerranéen luxuriant. Les eaux calmes et peu profondes font de cette zone un lieu de prédilection pour les familles avec enfants, mais une excursion sur un petit îlot, appelé “Lu squeiu” par les habitants, à quelques mètres de la plage, est également tout à fait charmante. Dans les environs immédiats, les amateurs de plongée peuvent découvrir des colonnes de marbre datant, selon les estimations, du IIe siècle avant Jésus-Christ. Mais la Marina di Torre Chianca est surtout une destination appréciée des amateurs de sports nautiques, qui peuvent y faire de la plongée libre en profitant de la parfaite visibilité des fonds marins.
À Porto Cesareo, vous n’aurez que l’embarras du choix en ce qui concerne les plages et les endroits où vous pourrez profiter de la splendide mer du Salento. La plage de Porto Cesareo. Impossible, cependant, de ne pas commencer par celle qui se trouve au centre de la ville et qui offre tout ce que l’on peut attendre d’un séjour dans cette région: sable blanc, maquis méditerranéen et mer cristalline. En raison de sa position absolument barycentrique, cette dernière plage est souvent la première à être prise d’assaut par les baigneurs. Si vous recherchez un peu de tranquillité, la solution la plus proche est de rejoindre, en bateau ou à la nage, l’Isola dei Conigli, toute proche. Il s’agit d’une zone de terre détachée du littoral césarien, mais qui appartient elle aussi à l’aire marine protégée de Porto Cesareo. Ici, il n’y a pas de lidos aménagés et vous pouvez profiter du contact avec une nature plus sauvage. En revanche, en contrebas de la Torre Chianca, datant du XVIe siècle, se trouve une plage idéale pour les familles et les amateurs de sports nautiques, tandis qu’autour d’une autre tour de guet, la Torre Lapillo, se concentrent la plupart des établissements. Enfin, il est impossible de quitter Porto Cesareo sans visiter Punta Prosciutto, l’un des endroits les plus beaux de tout le Salento. C’est un authentique coin de paradis, caractérisé par une longue et large langue de sable fin qui rappelle des panoramas exotiques.
Porto Cesareo, que voir: 5 lieux à ne pas manquer entre mer et histoire |
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