L’exposition Trajan. Construire l’empire, créer l’Europe a ouvert ses portes aux Mercati di Traiano le 29 novembre 2017 et devait se terminer ces jours-ci, mais, grâce à ses 120 000 visiteurs, elle a été prolongée jusqu’au 18 novembre.
L’exposition se déploie à travers des statues, des portraits, des décorations architecturales, des moulages de la colonne de Trajan, des pièces d’or et d’argent, des maquettes et des reprises tridimensionnelles, des films : un défi pour se plonger dans la grande Histoire de l’Empire et dans les histoires de ceux qui l’ont rendue possible.
Le parcours de l’exposition s’articule autour de 7 sections, en commençant par la mort de Trajan, survenue en Asie Mineure et qui, cas unique dans l’histoire romaine, a été célébrée en triomphe dans la capitale, en même temps que ses exploits. Il se poursuit avec le contraste entre les campagnes sanglantes en Dacie (partie de l’actuelle Roumanie) et les grandes œuvres réalisées dans la paix, du rôle des femmes de la famille (véritable “bras droit” de l’empereur pour la politique sociale) aux espaces privés, jusqu’à la “fortune” de la figure de Trajan après l’Antiquité, grâce à sa renommée d’homme juste, le plus “chrétien” parmi les païens, décent et charitable.
Grâce aux nouvelles technologies et à la narration, qui sont également les protagonistes de la conception et du contenu de l’exposition, les visiteurs se retrouvent immergés dans le monde de Trajan. L’empereur, ou plutôt son fantôme, incarné par un acteur, leur fait découvrir la vie de l’optimus princeps. Les parfums, les pétales et le bruit de la foule donnent au visiteur les mêmes sensations que le peuple de Rome lors d’un triomphe ; les stèles de soldats s’animent pour montrer les agonies des légionnaires engagés dans les guerres de conquête de Trajan ; on écoute la description des ennemis de Rome, les barbares (d’abord antagonistes, puis protagonistes du destin de l’empire) et les voix des femmes de la famille royale, engagées dans les œuvres sociales et entreprenantes. Et, grâce à la réalité augmentée et aux vidéos immersives, les monuments de Trajan et l’incendie dont Trajan fut sauvé par l’intercession de Grégoire le Grand prennent vie.
L’exposition utilise également les installations multimédias et interactives réalisées grâce aux collaborations que la Surintendance du Capitole a mises en place à des fins de recherche, d’étude et de diffusion avec Duke University, Department of Classical Studies, Dig@Lab, sous la coordination scientifique de M. Forte, la Real Academia de Trajan, l’Université de Rome, l’Université de Rome, l’Université de Rome, l’Université de Rome, l’Université de Rome et l’Université de Rome. Forte, la Real Academia de Bellas Artes de San Fernando(Madrid, Espagne), Laboratorio de Humanidades Digitales sous la coordination scientifique de J. M. Luzon, la Division ICT du Département des Technologies de l’Energie de l’ENEA dans le cadre du projet CO .B.R.A.(COnservazione dei Beni Culturali, con l’applicazione di Radiazioni e di tecnologie Abilitanti), sous la responsabilité de A. Quintiliani.
En outre, à partir du 25 septembre, les rendez-vous du Mardi de Trajan reprendront dans la salle de conférences du musée, des journées d’études, des congrès, des conférences sur des thèmes liés à la figure de l’Optimus Princeps et au-delà, tenus par des conservateurs et des collègues de musées et d’universités nationales et internationales. Ce nouveau cycle abordera des thèmes d’actualité tels que la protection, la valorisation et la communication du patrimoine culturel. Premier rendez-vous le mardi 25 septembre à 15h45 avec la conférence intitulée La sfera del sacro : culti e religiosità nelle province danubiane (La sphère du sacré : cultes et religiosité dans les provinces danubiennes), sous la direction de Lucia Cianciulli.
Deuxième rendez-vous avec la conférence du lundi 1er octobre à 15h45 intitulée Nell’anno del Patrimonio : Rinnovvamento, comunicazione e prospettive associazionistiche dei Musei Archeologici. Trinidad Nogales Basarrate, Marta Novello, Valentino Nizzo et Cristina Loglio figureront parmi les orateurs invités.
En achetant la nouvelle carte MIC au prix de 5 euros, les personnes qui vivent et étudient à Rome peuvent bénéficier d’un accès illimité pendant 12 mois aux musées municipaux et aux sites historiques, artistiques et archéologiques de la Surintendance. Vous pourrez admirer les collections permanentes, visiter les expositions temporaires, participer gratuitement aux événements, aux visites guidées et aux activités éducatives incluses dans le prix du billet d’entrée au musée.
Pour toutes les informations, vous pouvez visiter le site des Mercatini di Traiano en cliquant ici.
Il reste jusqu'au 18 novembre pour se plonger dans la Rome de Trajan. Exposition sur Trajan prolongée |
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