Un voyage en Versilia pour la Galerie Clima de Milan, qui a réuni à l’Hôtel Byron de Forte dei Marmi, dans une exposition intitulée IOU (prononcé comme l’expression anglaise “I owe you”), quelques jeunes talents internationaux, plus quelques noms déjà établis, avec l’intention d’utiliser un slogan emprunté à la mode (“IOU” a été une campagne à succès de la styliste Vivienne Westwood, présentée juste cette année) pour lancer, écrit la commissaire Chiara Guidi dans le cahier de l’exposition, un “slogan artistique” qui peut transmettre le message d’une révolution culturelle et sociale en ce qui concerne le changement climatique de la planète, présentée cette année) pour lancer, écrit la commissaire Chiara Guidi dans le cahier de l’exposition, un “slogan artistique” qui puisse transmettre le message qu’une révolution culturelle et sociale par rapport au changement climatique de la planète est encore possible, et qui soit en même temps “très proche de la sensibilité et de l’esthétique contemporaine” des œuvres des artistes.
Une exposition évocatrice, qui commence par les portraits Dream très spéciaux du doyen du groupe, Matteo Nasini (Rome, 1976), qui a remporté le prix Talent 2016 avec ces œuvres : il s’agit de formes coniques évocatrices résultant du traitement des ondes cérébrales enregistrées, via l’encéphalogramme, pendant la phase de sommeil paradoxal. Le résultat a ensuite été imprimé en 3D, et ce que nous voyons sont, à toutes fins utiles, des représentations de rêves. La réflexion désormais classique sur l’action du temps sur la matière fait l’objet des travaux de Jason Gomez (Los Angeles, 1986), qui enrichit ses recherches de greffes végétales, tandis que son compatriote Will Stewart (Californie, 1984) réinterprète le minimalisme américain en proposant à l’observateur des paysages monochromes évocateurs, faits de craie, de toile brute et de pigments. Le trio américain est complété par Dana Lok (Pennsylvanie, 1987) qui, avec sa poétique du double, entend explorer le thème de la perception visuelle et mentale.
Les autres artistes sont tous italiens : Cleo Fariselli (Cesenatico, 1982) propose avec son œuvre Loko maka lua deux grands miroirs qui ressemblent presque à deux grands yeux de chat observant l’observateur, tandis que Valerio Nicolai (Gorizia, 1988) présente des “visions révélatrices, romantiques ou ironiques” avec une peinture forte et sincère qui propose des points de vue inhabituels (son Soleil vu d’un oursin est très particulier) et, enfin, Cosimo Casoni (Florence, 1990) propose un abstractionnisme original (mais avec de solides références à la réalité qui dénotent sa passion pour l’art des Macchiaioli) dans lequel les marques sur la surface des tableaux sont en fait des traces laissées par les roues d’un skateboard.
Voici une sélection des œuvres exposées à l’occasion de l’exposition d’été de Clima :
Matteo Nasini, Dream Portrait (2016 ; impression 3D en porcelaine, 30,5 x 15 cm). |
Jason Gomez, Clonal Advantage II (2016 ; bronze et mousse de polyuréthane, 23 x 34 x 13 cm) |
Will Stewart, Sans titre (monochrome) (2017 ; plâtre, jute, pigment, 20 x 34 cm) |
Dana Lok, Double Bunny (2017 ; pastel sur papier, 68 x 80 cm) |
Cleo Fariselli, Loko Maka Lua (2016 ; papier mâché, aquarelles, poudre de cuivre, résine époxy, oxyde de fer ; 48 x 107 x 20 cm chacun). |
Valerio Nicolai, Soleil vu d’un oursin (2017 ; acrylique, huile, papier, colle, coton et résine sur toile sculptée de l’artiste ; 58 x 30 x 3 cm). |
Cosimo Casoni, La strada di casa (2016 ; huile et bitume sur toile dans un cadre d’artiste ; 140 x 100 cm). |
La galerie Clima de Milan met l'accent sur les jeunes talents internationaux. Voici les œuvres |
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