Le ministère des Biens culturels recherche des bénévoles pour la bibliothèque Angelica à Rome. Mais pas seulement : les volontaires qui participeront à l’appel à volontaires que vient de lancer le MiBAC doivent avoir au moins trois ans d’expérience dans le domaine de la protection du patrimoine culturel, puisqu’ils devront soutenir la bibliothèque dans ses activités d’archivage et de numérisation de documents, en particulier en ce qui concerne le précieux fonds géographique de la bibliothèque.
Chaque volontaire interviendra au maximum cinq jours par semaine, à raison de cinq heures par jour, avec un remboursement de frais de 25 euros bruts par jour (soit 5 euros par heure). L’association devra documenter, lit-on dans l’avis, “la possession d’une expérience dans le secteur de la protection, de la jouissance et de la valorisation du patrimoine culturel”, et pour sa part une Commission interne spéciale de la Bibliothèque Angelica évaluera les propositions sur la base d’une expérience spécifique dans la gestion d’activités similaires à celles faisant l’objet de l’avis, les méthodes d’organisation du personnel bénévole, la formation du personnel bénévole sur les activités faisant l’objet de la sélection, et le plan des coûts à la charge de la Bibliothèque. Cette période s’étendra du 1er septembre au 31 décembre.
S’agit-il d’un nouveau cas de détournement du bénévolat ? Sommes-nous donc encore loin de la fin de l’urgence que le ministre Bonisoli disait vouloir résoudre?
Le MiBAC recherche des bénévoles pour la bibliothèque Angelica : ils feront de l'archivage à 5 euros bruts de l'heure. |
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