Illycaffè lance la nouvelle collection Illy Art signée par 4 artistes latino-américains émergents.

illycaffè, la société mondiale du café, présente la nouvelle illy Art Collection dédiée à la 60ème Exposition Internationale d’Art de la Biennale de Venise, qui porte le même nom que l’événement“Stranieri Ovunque - Foreigners Everywhere”. Une association de plus de vingt ans, celle avec l’Exposition Internationale d’Art, qui est reconfirmée également à l’occasion de la 60ème édition, s’enrichissant d’une illy Art Collection signée par quatre artistes latino-américains émergents choisis par le curateur de la Biennale Arte 2024 Adriano Pedrosa parmi ceux qui exposent dans le cadre de l’exposition. Les emblématiques gobelets illy ont une nouvelle fois été transformés en une toile vierge sur laquelle la Guatémaltèque Paula Nicho, le Péruvien Rember Yahuarcani López, le Colombien Aycoobo et le collectif brésilien Mahaku ont pu exprimer leur créativité, fermement ancrée dans les traditions et la culture de leur terre. La illy Art Collection sera disponible dans l’e-shop illy, dans les magasins (illy Caffè et illy Shop), dans les circuits de la grande distribution et dans les circuits indirects du commerce électronique.

Kit de 4 tasses à espresso au prix recommandé de 94,00 €.

Kit de 4 tasses à cappuccino au prix de vente conseillé de € 114.00

Set de 2 tasses à espresso au prix de vente conseillé de € 51.00

Kit cappuccino 2 tasses au prix de vente conseillé de € 61.00

“La nouvelle illy Art Collection, qui reprend le thème de la Biennale Arte 2024, est dédiée à ceux qui sont étrangers ou éloignés et promeut, à travers le langage de l’art contemporain, différentes formes de dialogue et d’inclusion, allant du respect des racines et de la culture de tous les peuples à l’importance de vivre en équilibre avec la nature, des valeurs qu’illycaffè soutient tout au long de la chaîne, en mettant toujours l’accent sur le respect de la nature et de l’environnement. soutient tout au long de la chaîne, en plaçant toujours la personne et l’environnement au centre de toutes ses activités”, déclare Cristina Scocchia, directrice générale d’illycaffè.

Notes sur les artistes

Paula Nicho est probablement l’artiste maya guatémaltèque vivante la plus importante. Elle a commencé à travailler comme tisserande et peint aujourd’hui la fantaisie des vêtements, qui reproduisent la nature d’une manière artistique, unique et spéciale. Elle les considère comme “ma seconde peau”, ce qui est également le titre de l’œuvre reproduite dans la coupe, et ils représentent cette partie de son histoire au cours de laquelle elle a souffert de discrimination parce qu’elle portait des vêtements traditionnels. À travers la représentation de diverses scènes de vie, dans lesquelles elle a saisi la force des femmes portant les costumes caractéristiques des différentes régions du Guatemala, l’artiste témoigne de l’importance des vêtements dans le rétablissement de l’autodétermination indigène.

Rember Yahuarcani López est un artiste visuel, un écrivain et un activiste qui appartient au clan Áimenɨ de la nation Uitoto de l’Amazonie du Nord au Pérou. Chaque tableau est la voix vivante des ancêtres et des dieux, reflétée dans les animaux et la nature, car à l’époque, il n’y avait pas de séparation entre l’homme et la nature. Dans “les êtres invisibles”, l’artiste reproduit des créatures nées il y a des milliers d’années dans les territoires amazoniens. Au fil des siècles, ce sont les dieux indigènes qui ont enseigné à leurs habitants de nouvelles façons de se comporter avec l’environnement et c’est à travers les mythes et les histoires qu’ils continuent à transmettre des connaissances importantes sur la médecine, la construction, la plantation et le soin de l’environnement.

Aycoobo (Wilson Rodríguez) est un artiste colombien qui a appris son art de son père, peintre et expert en plantes. Dans nombre de ses œuvres, il traite de la relation entre l’homme et la nature. Pour lui, l’art est un moyen d’affiner ses racines anciennes et sa vie en tant qu’individu dans le monde contemporain. La coupe, qui retrace l’œuvre “Le rêve du chaman”, représente la manière dont le chaman perçoit et ressent la nature à partir de son être, en se connectant spirituellement avec les plantes et les animaux, qui sont les gardiens célestes de la terre, et en apprenant d’eux la sagesse ancienne selon laquelle chacun joue un rôle, une fonction partagée et acceptée parce que chacun apporte sa propre médecine pour guérir l’humanité.

MAHKU, le mouvement brésilien des artistes du groupe ethnique Huni Kuin, utilise l’art pour donner forme aux histoires racontées dans les chansons Huni Meka, qu’ils considèrent comme des messages des esprits transmis au peuple Huni Kuin. Leurs œuvres illustrent les mythes sur les origines du monde et les relations entre les hommes, les animaux, les plantes et les esprits. La coupe raconte le mythe de kapewë pukeni (le pont-alligator) : des hommes devaient traverser le détroit de Béring pour passer du continent asiatique au continent américain. Un alligator se proposa de les porter sur son dos en échange de nourriture. En chemin, les animaux disponibles se font de plus en plus rares et les hommes chassent un petit alligator, trahissant la confiance du grand alligator, qui s’enfonce dans la mer. D’où la séparation entre des peuples et des lieux différents.

Illycaffè lance la nouvelle collection Illy Art signée par 4 artistes latino-américains émergents.

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